Compte rendu réunion du CDSC du 27/09/2021

Nous nous sommes réunis en réunion plénière le 27 septembre 2021. Nous étions 21 participants répartit sur tout le territoire métropolitain. Nous avons organiser la réunion en deux temps. Un premier tour de parole pour faire le constat et recueillir les témoignages vécus et collectés par intervenants de notre réunion. Et dans un second temps un échange sur les actions envisageables pour porter nos revendications.

J’aimerais commencer se compte-rendu par un constat et le rappel de notre historique de notre comité. Nous nous sommes constituer au début d’année 2020 là l’occasion du 3ème confinement qui à estampiller nos professions comme « non-essentiel ». C’est alors que notre comité à lancer un appel qui a été rejoins par prêt de 480 signataire qui se sont retrouver autour de 4 revendications simples et claires:

• La réouverture totale et immédiate des lieux de culture, de spectacle et des cinémas

• La prolongation de l’année blanche et un seuil d’accès à 253h pour les « primo-entrants »

• Un plan d’accompagnement des étudiant.e.s en cours de formation et sortants d’études pour leur permettre d’accéder à l’emploi

• Retrait de la réforme de l’assurance-chômage

Ces revendications sont toujours d’actualité car le GVT n’a garantie à aucune structure ni aucune organisation représentante le fait de ne plus fermé les lieux de culture en cas de nouvelle vague de confinement. Le seuil d’accès pour les primo entrants a été conditionné à l’âge et à un seuil plus élevé 386 H que demander pendant les négociations Aucun plan prévue à notre connaissance pour les jeunes ( et nouveaux.elles.) diplômé.e.s et nous connaissons tous la situation quand à la destruction l’assurance chômage.

Mais nous pouvons tiré un constat positif nous sommes répartie sur le territoire métropolitain de manière assez équilibré qui nous permet d’avoir des yeux et des oreilles pour prendre la tension et avoir des retours constructif sur ce qui se passe dans notre milieu. Lors des tours de paroles le constat et unanime nos métiers sont encore sous le coups de la « crise sanitaire ». L’apparition du « pass sanitaire » au cours de l’été a eu pour effet direct, lors du festival d’Avignon, d’une baisse de 40 % de la fréquentation dès le 21 juillet 2021.Certains camarades ont rapporté qu’ils ont eu plusieurs annulations dut à l’alourdissement des mesures, la nécessité de contrôler le public et aussi pour un nombre non connu d’organisateur le refus catégorique de se plier à cette injonction au contrôle des participant.e.s . Dans la continuité des informations que l’on pourrait classer dans celle à double tranchant nous avons appris que certains organisateurs on fait des promesses de ré-engagement pour des compagnie sur l’année 2022. Oui c’est une bonne nouvelle qui va créer ce que l’on avait déjà aborder plusieurs fois, lors de nos réunions et rencontres, l’embouteillage des artistes et compagnies qui ne pourront pas se partager le nombre de lieu et de dates sur une année (d’où l’importance du prolongement de l’année blanche pour les intermittent.e.s ), au vue de l’impossibilité matériel (des festivals ne pouvant plus existé, des lieux qui ferme faute de moyen… ) .Il y a aussi une diminution de l’usage du GUSO (Guichet Unique du Spectacle Occasionnel) très utilisé par les programmateur « amateur » comité des fêtes, Maison Pour Tous, C.S.E, association de parents d’élèves, et le monde associatif en générale… Pour nous il s’agit aussi d’une attaque contre le tissu associatif qui est le premier pourvoyeur de culture dans nos territoires. Il est essentiel pour créer le maillage et la diffusion des œuvres. Le constat sur le quotidien de nos professions est alarmant pour un grand nombre de travailleurs.euses, des nouvelles productions ne peuvent pas suivre leur cours, la peur et l’incertitude sont omniprésente dans les témoignages que nous avons recueilli.

« Pour nous il s’agit aussi d’une attaque contre le tissu associatif qui est le premier pourvoyeur de culture… »

Au fil de nos échanges nous avons fais un passage rapide et concis sur les direction syndicale qui brillent par leur silence. Aucun soutiens pour les derniers lieu occupées aucune action prévue, ni appels… Nous ne nous sommes pas étaler sur cette questions car ce silence est présent à l’échelle de nombreuse direction du national au local (sauf exception évidement). Nous avons eu le témoignage d’une jeune artistes qui à du refuser (ou se voir refuser ) un poste dans une comédie musicale qui aurait été une opportunité de lancement de carrière. Cette artiste nous à fait part de sont début de carrière totalement chaotique. Elle doit se soumettre à la règle pour pouvoir travailler. Nous avons eu le plaisirs d’accueillir parmi nous le Député La France Insoumise de l’Ariège Michel Larive qui nous à offert un soutiens dans notre démarche et nous à rappeler les positions que lui et le groupe parlementaire LFI ont tenu depuis le début de cette crise :

NON  AU PASS SANITAIRE

Non à ça prolongation.

Une prolongation des mesures d’aides à nos professions jusqu’à la fin de la crise

De plus il nous a fait part de l’incohérence permettant du GVT et il pense que le pass sera prolonger jusqu’aux élection 2022.

 La seconde partie de la réunion c’est appliqué à trouver les formes d’actions et les outils que nous devons et pouvons mettre en place pour continuer le combat et de ne pas cesser de nous organiser au vue des échéances et enjeux à venir.

 Regroupement pour la manifestation du 5/10 dans nos différents secteur. Se mettre ne lien avec le réseau des jardins libre. Faire une délégation pour une rencontre au ministère de la culture. Créer une page facebook pour recouvrir les témoignage et partager les informations de la lutte.

Écrire aux députés.

Préparation d’une conférence sur la situation et rendre compte de nos revendications.

C’est idées seront en partie mis en place pour notre prochaine réunion plénière qui se tiendra au mois de novembre.

Une note en fin de compte rendu :

Il nous semble essentiel d’impliquer notre public car nous l’avons rappeler lors de nos réunions précédentes sans notre public nous ne sommes pas des acteurs de la vie culturel, c’est pour eux que nous travaillons et produisons.